Les bienfaits des protéines végétales

En ces temps où le végétarisme et le véganisme ne sont plus perçus comme des bizarreries alimentaires, j’avais envie de mettre ma casquette de diététicienne pour vous parler des protéines, éléments indispensables de l’assiette équilibrée.

Loin de moi l’idée de vous faire un cours, il y a des écoles pour ça : on va se contenter d’un résumé, et en quoi elles sont importantes. Je vous expliquerai aussi pourquoi Super Bon trouve facilement sa place dans l’alimentation du quotidien, quelle que soient vos convictions. Mais n’oubliez pas, ce qui compte avant tout, c’est le plaisir de déguster et la variété, pas le comptage des microgrammes de vitamines. C’est bien d’être informé sur ce qu’on mange, mais ça ne doit pas être une obsession qui prive du partage de bons moments autour d’une table…

 Découverte en 1835 au Pays Bas par le chimiste G. J. Mulder, le nom « protéine » vient du mot grec “protos” qui signifie premier, dans le sens essentiel.

En effet, les protéines sont les principales composantes des structures de toutes les cellules du corps humain. Ce sont les « briques » de l’organisme.

Leurs rôles sont multiples : énergétique et structural, elles jouent de plus un rôle capital au niveau des métabolismes, permettant l’assimilation des molécules alimentaires, permettent à l’organisme de se défendre contre les agressions extérieures. Enfin, les protéines entrent aussi dans la composition de l’hémoglobine et de certaines hormones.

 

Au niveau moléculaire, les protéines sont constituées de chaînes d’acides aminés plus ou moins longues. Il existe plus de 20 acides aminés différents, qui peuvent composer entre eux des arrangements complexes sans limite.

Parmi ces acides aminés :

– 8 sont dits essentiels (leucine, isoleucine, valine, lysine, méthionine, thréonine, tryptophane et phénylalanine, auxquels il faut rajouter histidine et arginine chez l’enfant). L’être humain est incapable de les fabriquer, ils doivent donc impérativement être apportés par l’alimentation ;

– Les autres sont dits non-essentiels, c’est-à-dire qu’ils peuvent être fabriqués à partir des acides aminés essentiels.

Les besoins en protéines évoluent au cours de la vie : âge, état de santé, sexe, activité physique sont autant de facteurs qui influencent nos besoins.

Une carence en protéines est très rare dans les pays industrialisés – on a tous en tête l’image des enfants au ventre ballonné souffrant de kwashiorkor, qui est une réelle malnutrition protéino-énergétique… Mais un peu trop peu tous les jours, si l’alimentation est déséquilibrée, trop raffinée ou industrialisée, elle guette, surtout chez les personnes atteintes d’une maladie, en convalescence, ainsi que chez les personnes âgées. 

Une carence en protéines a des impacts négatifs sur tous les organes et les systèmes de l’organisme comme le cerveau, les fonctions cérébrales, le système immunitaire, la fonction rénale, etc…

Les protéines ont un effet rassasiant de longue durée, surtout si elles sont associées à des graisses, comme dans fruits oléagineux et à coque (amande, noix, etc …).

On en trouve où ?

> Les protéines animales :

Les œufs, la viande, le poisson, les produits laitiers sont des sources facilement accessibles de protéines complètes, c’est-à-dire qui contiennent tous les acides aminés essentiels :

En moyenne, 100g de ces produits apportent 20 à 25% de protéines.

 

> Les protéines végétales

Elles conviennent à tous. Elles se montrent avantageuses car elles sont bien moins acidifiantes que leurs cousines animales, ce qui aurait alors une incidence sur la densité osseuse par exemple.

Souvent riches en fibres, elles ont un profil lipidique intéressant – c’est-à-dire qu’elles apportent du “bon gras”, bénéfique au niveau cardio-vasculaire.

Les noix, les céréales et les légumineuses contiennent de grandes quantités de protéines. Les protéines végétales sont des sources de protéines dites « incomplètes », puisqu’elles ne contiennent pas tous les acides aminés essentiels. Par contre, combinées entre elles, elles sont parfaites !

Et il existe certaines sources végétales complètes, tels le soja, le quinoa, le sarrasin.

Pour vous faire une idée, voici quelques-uns des aliments les plus riches en protéines végétales : spiruline, graines de chanvre, graines de courge, graine germées, amandes, beurre d’arachide, fénugrec, haricot azuki, tempeh, noix, graines de chia, pois chiches, épeautre, … mais aussi les algues et les champignons.

L’apport protéique de ces aliments varie de 5 à … 30% : varier les sources est donc indispensable pour équilibrer son alimentation, et bénéficier de leurs atouts.

 

Attention aux substituts de viande végétariens : non seulement l’apport protéique peut être plus qu’anecdotique, mais en plus la teneur en sel souvent très élevée. Et comme tout produit préparé, la présence d’additifs tels des exhausteurs de goût et des colorants n’en fait au final pas un produit très reluisant …

 

Et Super Bon dans tout ça ?

Les energy balls de Super Bon contiennent exclusivement des protéines végétales (à l’exception de la saveur au spéculoos). En moyenne, chaque ball contient 10% de protéines, soit 2g/ball.

Les végétariens, les sportifs, les ados en pleine croissance, les personnes convalescentes, les personnes âgées retrouveront donc dans Super Bon un apport calorique et protéique optimaux. Même pour les personnes attirées surtout par le sucre, Super Bon fait illusion, et arrive à allier le plaisir de la touche sucrée aux bienfaits de ses ingrédients de qualité.

Quant à l’effet rassasiant, vos témoignages le prouvent : une ball est idéale pour combler efficacement les fringales de fin de matinée ou d’après-midi.

Le format permet de bénéficier de ces avantages en 1 bouchée (ou presque !).

De par ma formation, je suis particulièrement heureuse et touchée lorsque je constate que Super Bon ne sert pas juste “à faire joli”, à suivre une quelconque mode.

Parmi  mes clients, il y a régulièrement  :

– des convalescents qui ont besoin de beaucoup de calories, mais dont l’appétit ne suit pas : le petit format n’est pas rebutant, et c’est plus agréable que les forti-machin;

– des personnes âgées qui mangent majoritairement des produits sucrés et qui sont sur la voie de la dénutrition : proposer une friandise moelleuse avec tous les bénéfices derrières peut aider à améliorer l’état nutritionnel;

– des sportifs qui ne supportent plus les multiples saletés de leurs compléments alimentaires habituels : la simplicité de la composition des balls et barres, couplée à l’apport en protéines, permet d’améliorer la tolérance digestive tout en jouant un rôle énergétique efficace;

– des personnes en traitement (cancer, …) qui peinent parfois à avaler : la texture fondante est agréable et retrouver un petit peu le plaisir de manger, c’est bon pour me moral.

Bien entendu, le simple fait de vous entendre dire que Super Bon est délicieux suffit déjà à mon bonheur : continuez surtout 😉 !

Stéphanie

 

Petit rappel : surcommande, toutes les saveurs sont disponibles en barres, le format peut être adapté, l’enrobage modifié ou évité. Tout est possible : chez Super Bon, il suffit de demander ici.

images: pixabay et Super Bon energy balls